L’ESO 3 n’a pas démérité !

L’ESO 3 recevait Sainte Maure 2 qui avait, à l’aller, mis une déculottée aux Oésiens, leur infligeant un très sévère 8-25 au quatrième et dernier set.

Ce match démarre avec un premier set de qualité  et un score sans appel 25-15 pour les Oésiens, qui ont dès le début imposé leur jeu. Chaque joueur tient bien sa place au long des échanges, abrégés par les Sainte Mauriens qui, eux, commettent beaucoup de fautes.

Au second set, et comme à Montlouis, la malédiction s’abat sur l’équipe 3. Une terrible série de services (0-9 !!) cloue les joueurs sur place ; les réceptions sont très approximatives et ne permettent pas aux passeurs de faire des relances correctes. Cet écart de 9 points sera même agravé puisque le set s’achève sur un 13-25

Nouveau set, nouveau six sur le terrain et nouveau déroulement. L’équipe de Sainte Maure, rassurée, est bien décidée à ne plus rien lâcher. C’est une lutte acharnée qui s’engage entre les deux équipes. Duels au filet et longs échanges s’enchaînent, tournant fréquemment en faveur des rouge et noir. Personne ne cède, 11-11, 12-12, 15-15, 18-18, 22-22, 23-23… Puis deux erreurs des Oésiens vont permettre à Sainte Maure de remporter ce précieux set, 23-25.

Le quatrième et dernier set verra des phases de jeux très différentes. Un score tout d’abord serré jusqu’à 4-4 puis à nouveau une série noire de services (4-9). Les joueurs ne perdent pas confiance malgré le score de 9-16 et ils grignottent du terrain afin de revenir au score : 17-23, 20-23, 22-23 !! Mais à nouveau, le vent tourne en faveur des adversaires qui s’imposent : 22-25.

Bien que le score final soit identique à celui de l’aller (1-3), le match n’a pas été à sens unique. Il a encore manqué à cette équipe 3 de la régularité et une capacité à maintenir la pression lors des points décisifs. Les joueurs, remontés à bloc, tenteront de stopper cette série de quatre défaites consécutives même si le match contre Monts 3 est loin d’être gagné d’avance…

Lien Permanent pour cet article : https://www.eso-volley.fr/?p=1748

Laisser un commentaire